vendredi 19 septembre 2014

Evolution of the Desk

En moins d’une minute, cette vidéo nous montre à quel point notre poste de travail s’est transformé en l’espace de trois décennies.

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http://bestreviews.com/best-home-office-desks#evolution-of-the-desk

mercredi 7 mai 2014

Enquête sur les méthodes d'achat des Hypermarchés et leurs conséquences

Les sept grands groupes d'hypermarchés, des enseignes qui gèrent à elles seules environ 80% des achats alimentaires en France, se livrent une véritable guerre des prix. Et leur position dominante crée un déséquilibre en défaveur des fournisseurs. 
Dans les centrales d'achats, les négociations sont particulièrement rudes. Pour être présents dans les rayons, les fournisseurs doivent reverser jusqu'à 25% de leur chiffre d'affaires aux enseignes. 
Quant aux contrats commerciaux, ils sont truffés de clauses abusives. Les méthodes d'achat des hypermarchés ont ainsi des conséquences directes sur la qualité des produits que les consommateurs achètent ainsi que sur la survie du tissu agroalimentaire français. 
Car pour être plus compétitives que leurs concurrentes, certaines enseignes s'approvisionnent désormais à prix cassés en Pologne.



France 5

Consommateurs pris au piège


Consommateurs pris au piège, est un documentaire qui met en évidence des techniques marketing hallucinantes très sophistiquées de manipulation visant à nous inciter à consommer plus, à susciter des envies et les transformer en besoins inconscients, notamment à l'aide du neuromarketing.


Le Doc du dimanche,
France 5, 15/05/2012

mercredi 12 février 2014

Cegid Innovation store : la boutique de demain

A l'ère du Web communauté, du mobile et du Big Data, à quoi ressemblera les boutiques de demain ? De quelle manière les commerçants ayant pignon sur rue pourront-ils renforcer leur position face aux boutiques e-commerce ? C'est ce que propose de passer en revue Cegid, une société spécialisée dans la conception de progiciels et de systèmes d'information pour entreprises.


Source : Cegid Innovation Store, 10/02/14

lundi 10 février 2014

Dossiers Noirs de la Grande Distribution Pieces à Conviction




Pièces à conviction nous entraîne dans les coulisses de la grande distribution.

Pièces à conviction plonge dans le monde de la grande distribution, des négociations commerciales, de la guerre des prix... un monde impitoyable... où les règles et les lois semblent être là pour être mieux contournées.

Source : France 3

La vie sur un fil - Envoyé spécial à Roubaix



Le magazine de France 2 consacre, jeudi, un reportage à la Caisse d'allocations familiales de Roubaix (Nord). Les journalistes Anouk Burel et Frédéric Bazille ont passé trois semaines dans cette CAF, une des plus fréquentées de France.

Source : francetvinfo, 9/01/14

vendredi 7 février 2014

Comment Monoprix va nourrir sa marque en 2014

Davantage qu'une simple enseigne, Monoprix se veut une marque globale. Communication, réseaux sociaux, MDD, nouveaux circuits de distribution : le distributeur cultive son positionnement atypique pour résister à la crise.


Le virage amorcé en 2013 sera encore accentué en 2014. "Monoprix est installé au cœur des villes depuis quatre-vingts ans, rappelle Stéphane Maquaire, président du directoire de la filiale de Casino. Mais au-delà de cette proximité géographique, nous basculons progressivement vers davantage de proximité relationnelle. Monoprix devient une marque du quotidien, au service des citadins."

La nuance n'est pas que symbolique. Ce positionnement plus large s'illustre à la fois par le ton décalé cultivé par l'enseigne dans sa communication et par le développement de Monoprix en dehors de son réseau classique de magasins urbains.

Sur la communication, d'abord, le distributeur va continuer sur sa lancée. A l'aise sur les réseaux sociaux, Monoprix compte désormais 740.000 fans sur Facebook (+ 68% en un an). Ces fans, à en croire le distributeur, sont également plus "engagés" (ils interagissent) que ceux de la concurrence.

L'enseigne, ensuite, est déclinée dans de nouveaux espaces. Après les gares, Monoprix s'installe dans de nouveaux sites comme les aéroports et les autoroutes. Quatre "shops in the shop" ont été inaugurés l'an dernier dans des stations Total. Quinze ouvertures sont encore attendues dans ces différents lieux de flux pour 2014.

Monoprix se développe également "hors les murs". Avec son site de e-commerce, bien sûr, qui affiche + 26% de CA en 2013. Le distributeur voudrait d'ailleurs installer des casiers automatiques de retrait, là encore, dans des lieux de flux.

Monoprix ouvre aussi des boutiques en ligne, de textile essentiellement, sur des marketplaces. En 2013 chez Amazon, La Redoute et MonShowroom (du groupe Casino). En 2014 chez BrandAlley.

La marketplace de Cdiscount (groupe Casino), en revanche, n'attire guère Monoprix pour l'instant. Les opérations "boucherie sur les prix à - 95%", ce n'est pas vraiment la tasse de thé de l'enseigne...

Autre nouveau business pour Monoprix : la distribution de ses MDD chez des partenaires. Via Newrest et Elior dans les bars TGV de la SNCF. Ou encore à l'étranger, dans les enseignes du groupe Casino (Brésil, Thaïlande) et chez un partenaire à Hong Kong. Il y aurait même un marché à prendre au Japon, où la marque Monoprix est déjà connue grâce aux touristes de retour de Paris !

Un développement record

Monoprix a bouclé une année record en matière d'expansion. Le parc de magasins de la filiale de Casino atteint 500 unités, toutes enseignes confondues, grâce à 40 ouvertures en 2013. 8 Monoprix, 15 Monop et 5 Naturalia (magasins bio) ont notamment été inaugurés l'an dernier.

La franchise compte pour moitié dans ce développement et Monoprix a déjà prévu une expansion du même ordre en 2014.

A l'international (à 100% en franchise), le distributeur va poursuivre cette année son développement en Libye et au Liban. L'enseigne va également faire son apparition au Maroc, à l'Ile Maurice et au Luxembourg.

Monoprix affiche 4,3 Mds€ de chiffre d'affaires TTC en 2013, en croissance de 1,1%. A magasins comparables, les magasins Monoprix sont en recul de 0,8% : l'alimentaire résiste bien mais le textile plonge de près de 6% (en raison d'une moindre activité promotionnelle que la concurrence, se défend le distributeur).

Source : Linéaire, 21/01/2014

mercredi 5 février 2014

Smart Flows repère les flux de clients en magasin

La start-up Smart Flows a développé un système permettant de cartographier les flux de personnes dans les grandes surfaces, grâce aux ondes émises par les smartphones.

Smart Flows repère les flux de clients en magasin
Smart Flows permet de suivre des clients à la trace dans des grandes surfaces, grâce aux ondes des smartphones.
DR
C'est un peu le Google Analytics des magasins. La technologie mise au point par la jeune start-up Smart Flows permet d'analyser en temps réel les déplacements des clients dans un commerce en repérant leurs smartphones.

Grâce à des capteurs qui récupèrent les signaux émis par les téléphones portables, l'outil de Smart Flows réalise une cartographie très précise des mouvements de personnes. Validé par la CNIL, ce système garantit la confidentialité des données obtenues, qui sont cryptées afin d'éviter toute atteinte à la vie privée.
Carrefour et le musée du Louvre équipés

Présente au CES 2014 de Las Vegas, Smart Flows suit et analyse en temps réel les flux de personnes, offrant ainsi aux distributeurs un outil performant pour améliorer leur connaissance client.

"Dans un magasin d'électronique et d'électroménager, on peut observer que sur 100 personnes visitant le rayon multimédia, 30 vont par la suite au rayon électroménager, et 70 au rayon télévisions, explique Nicolas Binet, co-fondateur de Smart Flows. Cela permet à nos partenaires d'améliorer leur connaissance client, mais également leur accueil des visiteurs, en gérant mieux les flux."

Un outil qui a déjà séduit Carrefour, Gemo et même le musée du Louvre.

S'inspirer du e-commerce

Smart Flows est née de la rencontre entre deux conseillers en stratégie et finance, Marion Brette et Nicolas Binet. Ces derniers se sont inspirés du e-commerce, et des méthodes de traçage des clients très efficaces. "Nous avons réalisé qu'il était impossible d'analyser le comportement client dans les espaces de vente physique, alors que le cheminement des clients sur les sites de e-commerce est si facilement analysable, précise Nicolas Binet. C'est ainsi que nous avons imaginé Smart Flows."

Au départ, la jeune pousse a dû faire appel à l'autofinancement, ainsi qu'à des aides publiques. Un an après, en 2012, les résultats étaient déjà positifs, notamment grâce à un business model efficace : proposer des abonnements aux clients, en fonction de la superficie du site et du service.

Shopping connecté

La start-up est aujourd'hui principalement implantée en France. Deux commerciaux ont rejoint l'équipe de 10 personnes, et sont en charge du développement des marchés allemands et suisses. Le CES a permis à Smart Flows d'élargir son carnet d'adresse, et de se créer une importante base de contacts outre-Atlantique pour une éventuelle implantation là-bas.

Pour poursuivre son développement, la start-up a mis au point un nouveau produit pour affiner les possibilités commerciales de leur solution. "Les clients peuvent se connecter au réseau wifi du magasin et recevoir des informations ou des réductions ", décrit Nicolas Binet.

Inventive et ambitieuse, cette start-up entend se faire une place sur le marché du shopping connecté.

Source : L'express, 3/02/14

mercredi 29 janvier 2014

Après un bac pro


La plupart des bacheliers professionnels entrent directement dans la vie active. Un quart poursuit toutefois des études supérieures, principalement en BTS.

Une fiche à destination des élèves de terminale, présentant les grandes filières accessibles prioritairement après un bac pro.


Source : Onisep

mardi 28 janvier 2014

Sans musique dans les magasins, les clients ont un "sentiment de vide"

Quasiment tous les commerces proposent désormais des ambiances musicales. France 3 s'est penché sur la question, à l'occasion de la 11e semaine du son.

On se plaint souvent du bruit, qui est partout omniprésent. La 11e semaine du son, qui débute ce lundi 27 janvier, veut sensibiliser le public à la qualité de l’environnement sonore. Un constat est fait par nos confrères de France 3 : quasiment tous les commerces proposent désormais des ambiances musicales, notamment les grandes surfaces et les centres commerciaux. Des agences de communication sonore se sont créées et proposent leurs idées.

Un magasin est perçu comme "triste" par les clients en l'absence de musique, selon le directeur d'une agence de communication qui travaille dans la sonorisation des magasins. Sans musique, les émotions générées par les clients "sont plus négatives", dit-il. Plus le tempo est rapide, plus les personnes se déplacent rapidement dans le magasin. Ce qui arrange bien les propriétaires de commerces les jours d'affluence, notamment le week-end. 


Source : France 3, 27/01/14

jeudi 16 janvier 2014

Les centres commerciaux français ont souffert en 2013

L’activité des enseignes de biens culturels implantées dans les «malls» a fortement chuté l’an dernier dans l’Hexagone.
La fréquentation des centres commerciaux s’est inscrite en repli de 1,7% en 2013. 



La crise, mais surtout la concurrence du e-commerce, commencent à peser sérieusement sur l’activité des centres commerciaux français, justifiant le recentrage de la plupart des grandes foncières sur les meilleurs d’entre eux. Selon un premier bilan – les chiffres de décembre ne sont pas encore totalement arrêtés – établi par le Conseil national des centres commerciaux (CNCC), la fréquentation s’est inscrite en repli de 1,7% sur 2013.


Les chiffres d’affaires baissent, quant à eux, de 1,6%. « Ce recul de l’activité est constant depuis 2011 », a indiqué mardi le délégué général, Jean-Michel Silberstein. En 2012, la fréquentation avait déjà chuté de 1,1% et les ventes de 0,2%.
Les magasins culturels ne sont plus des locomotives


En 2013, ce sont les grandes surfaces spécialisées (GSS), notamment en culture et loisirs – les plus touchés par « l’effet Amazon » –, et les cœurs de ville qui ont le plus souffert, avec des baisses d’activité de, respectivement, 3% (dont 8,9% pour le seul secteur de la culture) et 4,3%. Des évolutions que confirme le projet de fermeture par la FNAC de deux de ses magasins , à Portet-sur-Garonne, près de Toulouse, et à Villiers-en-Bière, en région parisienne, deux gros centres commerciaux de périphérie.


Les boutiques de moins de 750 mètres carrés (–1,2%) et les secteurs de la beauté-santé (+ 1,1%) et de l’équipement de la personne (+ 5,2%) ont mieux résisté. « Les enseignes de biens culturels ne jouent plus leur rôle de locomotive, notamment dans les centres commerciaux de centre-ville », a résumé Christian Dubois, directeur général de Cushman & Wakefield France lors de la conférence de presse donnée à Paris par le CNCC.
Mauvais mois de décembre


La fédération d’enseignes Procos confirme, elle aussi, outre la baisse tendancielle de la fréquentation des centres commerciaux, le déclin des GSS. Son baromètre sur le commerce spécialisé affiche une baisse d’activité de 0,9% pour 2013, et de 2,8% pour le seul mois de décembre. Et ce sont bien les grandes et moyennes surfaces qui tirent l’indice vers le bas, avec pour l’année une diminution de leur chiffre d’affaires de 1,4%, contre seulement –0,7% pour les boutiques.

En revanche, Jean-Michel Silberstein, du CNCC, a souligné que « quoi qu’on ait pu dire ces derniers mois, le concept d'hypermarché reste solide ». Il s’est en outre déclaré «relativement optimiste » pour 2014. « On a atteint un plancher, on ne va pas descendre plus bas », a-t-il déclaré.
Reports d’ouverture

Signe des temps, malgré l'inauguration de sites spectaculaires comme Aéroville, près de l'aéroport Charles-de-Gaulle , ou Beaugrenelle, à Paris , l'année 2013 a été marquée, note Cushman & Wakefield par un nombre croissant de reports d’ouvertures de centres et de parcs d’activité commerciale. Seuls 58 % des ouvertures prévues ont eu lieu. Du côté de la fédération d’enseignes Procos, on constate la même tendance à « l’étalement dans le temps des projets ».

Source : Les Echos, 16/01/04

lundi 13 janvier 2014

Intermarché La Teste de Buch

Voici un reportage vidéo sur l'hyper Intermarché de La Teste de Buch (33) après sa rénovation. Benoît Matyn, Administrateur ITM Alimentaire International et adhérent Intermarché à Lanton (33) en détaille ensuite les partis pris.

C'est le 19 décembre dernier que nous avons découvert cet hyper situé au bord du Bassin d'Arcachon. Moderne, haut de gamme par son offre et son agancement, il marque un virage certain chez Intermarché et préfigure le concept 6000 qui sera dévoilé en juin prochain à Agen.



Source : http://www.fairesavoirfaire.com/